Petit Hikaru deviendra grand

I. Identité

Nom :
Ogawa
Prénom :
Hikaru
Âge :
18 ans
Orientation sexuelle :
Homosexuel
Année d'étude:
1ere année pour son plus grand malheur, sachant que Hikaru n'aime pas du tout l'école.
Membre d'une fraternité? :
Eta Zeta Chi
Personnage prédéfinis, or not ? :
Oui

II. Personnage

Caractère :

« Je suis le fruit d'une blessure ... Le souffle d'un trop long combat »

Un garçon blessé par le manque d'un père, sans arrêt au travail. Né d'un amour à sens unique, il n'a jamais connu cette présence masculine, ni l'affection de ce père dont les enfants ont besoin pour grandir sans séquelles. Meurtri par les remarques de ses camarades, personne ne lui a jamais expliqué pourquoi. Pourquoi était-il le seul à n'avoir qu'une mère présente. Bien trop blessant pour un enfant qui ne comprend même pas encore les dessins animés.
Grandir avec tant de questions sans réponses, grandir dans la solitude malgré un entourage présent, grandir tout simplement.
Petite graine nommé souffrance, implanté depuis cette naissance, grandit, grandit ...
Grandis avec moi.
Hikaru ne pose jamais de question de peur d'être blessé par sa mère, bien que celle ci soit dans une clinique à présent.
Et pourtant cette amertume en lui, qui n'est pas prête de s'effacer ...

« Take my hand, take my whole life too »

L'amitié c'est sacré. La devise de notre cher Hikaru capable de tout pour ses amis. Mais pour cela, il faudra le toucher et prouver que l'on est digne d'avoir sa confiance. Malgré les apparences, il reste méfiant concernant les autres, les apparences ... Comme les couvertures des livres : elles peuvent être si belles et pourtant l'intérieur si laid. Ou bien au contraire, avoir une couverture déchiré, et le récit le plus magnifique qu'il soit.
Comme quoi ... Chaque chose renferme un trésor et Hikaru est toujours près à le découvrir. Loin d'être prétentieux, il accepte de venir en aide à toutes personnes dans le besoin. Fidèle et toujours sincère, il déteste le mensonge, une des seules choses qu'il est incapable de pardonner. Le mensonge ... un mot si simple et pourtant qui cache de nombreuses souffrances. Mensonge, voilà exactement le bon mot pour résumer son enfance. Enfance ratée.
Il sait être présent quand il faut, dans les bons et les mauvais moments, mais jamais il ne dépassera les limites. Ce qui est d'ordre privée et qui ne le regarde pas. Malgré cette petite touche de curiosité faisant partie de son caractère, il sait se tenir à carreau.
Hikaru est un bon ami, même si parfois il doute de ses capacités à consoler les autres. Il a les mots qu'il faut, mais ne s'en rend pas compte. Pourquoi ? Ce manque permanent de confiance en soi. Et oui, si froid ... Il a apprit à se laisser approcher avec le temps ...

« Puisqu'on est jeune et con »

L'adolescence. La période où on se lâche comme jamais. Celle où on se sent invincible, capable de tout.
Bien que le mot 'con' ne corresponde pas tout à fait à notre Hikaru. Il n'est pas vraiment stupide, simplement pas très futé et qui c'est ... Ce n'est peut être qu'une simple façade.
Hikaru à toujours cacher la part sombre de sa personnalité. Le fait qu'il se senteseul, le fait qu'il se sente mal. Ne pas inquiéter les autres, rester sois même ...
Il est donc un jeune homme parfois débile, avouons le tout de même sans nous voiler la face, qui aime s'amuser. S'amuser pour oublier. Ce n'est peut être qu'une façade, mais il aime réagir tel un enfant. On lui a volé son enfance, il se doit de récupérer ces années perdues. C'est ce qui attire les autres vers lui en général, cette attitude légèrement détachée, je m'en foutiste. De cette façon il se retrouve dans des situations farfelues, les plus embarrassantes les unes que les autres, attirant presque les ennuis, comme le ferait un aimant. Il aime les situations dangereuses et ne sait pas très bien toujours s'en sortir. Mais ce qui le caractérise bien, c'est bien son éternel maladresse. Le roi des gaffes, qui passe sont temps à s'excuser auprès des autres ... Hikaru est quelqu'un de très attachant avec ses défauts et ses qualités. Il sait faire preuve de concentration et réflexion lorsqu'il travaille, vendant ses jolies petites pilules.

« La différence, Celle qui dérange, Une préférence, un état d'âme, une circonstance »

Et oui ... Quelque chose beaucoup plus tabou dans ce pays. L'homosexualité et même la bisexualité. Sans avoir vraiment eu de réelles expériences amoureuses, Hikaru sait très bien que les filles ne sont pas ce qu'il préfère. Pourquoi se mentir ? Autant accepter tout de suite cette forte attirance pour la gente masculine. Avec tout ce qui lui était arrivé ... Sa mère était une femme, il lui était donc incapable de les aimer.
Secret ? En quelque sorte. Si on lui pose la question, il n'hésitera pas à répondre, mais si personne ne s'y intéresse ... silence ... le plus beau mot qui soit dans ce genre de situation.
Il n'a pourtant aucun mal à s'assumer. Est-ce une maladie ordinaire un garçon qui aime un garçon ?
Être un étranger dans son corps, ce n'est pas comme avouer un mensonge, d'ailleurs il n'a pas honte de lui. Juste crever l'abcès qui le ronge et finir en paix avec lui. S'accepter ! Rejeter par sa mère, toujours aussi dépressive. Son père ne lui adresse même plus la parole.


Physique :

Sa silhouette est pareille à celle d'un ange, fin, élégant .
Hikaru n'est pas très grand, il est d'environ 1.59m pour ses 46 kilos a peine atteint. Il n'est pas maigre mais prendre du poids ne pourrait que le rendre encore plus séduisant. Sûrement pas complexé par son physique, il s'accepte tel quel et accepte les critiques des autres, peut être jaloux.

Quand on se rapproche un peu de ce jeune homme on peut observé de magnifique cheveux châtain tirant vers le noir, luisant aux rayons du soleil, laissant apparaître ses racines plus claires. Ceux ci lui tombent sur sa nuque fine jusqu'au niveau de ses épaules. Il met souvent met souvent de petites barrettes pour ne pas les abîmer car il veut en prendre soin. En les observant un peu mieux on peut remarquer quelques mèches plus claires, du au soleil, un fait naturel et aussi aux produits colorants. Cet éclaircissement ne fait que rajouter un peu plus de charme. Ils sont lisses et on peut les sentir glisser entre ses doigts, comme de l'eau, d'une grande fluidité. Souvent quelques mèches malines ayant réussit a s'échapper de leur prison viennent lui chatouiller le visage et parfois cacher ses yeux ... Il a prit l'habitude de changer de couleur assez fréquemment, passant du gris au noir, puis au blond ...

Ses yeux, il n'y a aucun mot pour définir leur magnificence. Mais essayons quand même. Ils sont d'une beauté, un léger marron clair mélangé a quelques touches de verts dorées ...Une des plus belles couleurs qui puissent exister dans ce monde. Ce "cadeau" vient de son père, qui avait le même regard. C'est un de ses plus beaux et grands atouts, car peu de personne possède des yeux comme ceux la. Mais Hikaru ne supportant pas son regard le cache grâce aux lentilles de contacts colorés d'un peu toutes les couleurs possibles.
Quand on le regarde dans les yeux pendant un long moment, il faut faire attention, car on peut vite s'y noyer, comme on se noierait dans l'océan. C'est dans son regard que l'on remarque le mieux ce que Hikaru ressent.

Descendons un peu plus bas de façon à voir son nez, fin, lui aussi, et droit. On peut passer son doigt dessus sans ne sentir aucun creux ni aucune bosse. Son petit nez qui le rend parfois si attirant. Mais nous n’allons pas nous attarder dessus, car plus il y a sa bouche … ses lèvres, si fines de couleurs roses mais pâles. Légèrement pulpeuses quand on le regarde de plus près ... comme si cette fine bouche vous appelait ... Fermez les yeux et ne voyez que ses lèvres bouger, appelant votre nom d'une voix douce et angélique. Une petite voix cassée, avec une pointe de masculinité.

Au niveau vestimentaire. Certes, c'est un jeune garçon parfois efféminé, et cela se voit à ses tenues assez près du corps. Mais il n'est pas non plus travesti, loin de la. Le plus souvent, on le voit vêtu de jean ou bien de pantalons larges accompagné de toutes ses chaînes et de ses baskets ... Ce genre de basket qu’avaient les gens les plus pauvres a une époque. Puis on remonte un peu pour apercevoir son T-shirt, généralement, il y a toujours quelques graffitis sur ses hauts, sauf avec ses chemises. Ce sont des T-shirt, assez près du corps eux aussi, mettant bien ses formes en valeur. Et pour ne pas avoir à subir la fraîcheur des soirées d'été, il porte un petit gilet marron, surmonté d'une capuche en cas de pluie, ou de beaucoup de vent. A son poignet gauche on peut observer de nombreux bracelets en plastiques noir.

Sous ses vêtements se trouvent deux tatouages, un au creux de ses reins représentant la Pomme du pêché d'Adam et Eve, un autre juste en haut de l'épaule qui cette fois représente l'arbre du pêché. Oui on reste dans l'interdit, tout ce qu'aime Hikaru, il n'avait jamais lu la bible mais l'histoire des deux amants lui avait vraiment plu quand il l'avait entendu. Et pour finir un roses noir et blanche se trouve juste sur sa nuque, parfois caché par ses cheveux.
On peut remarquer sur chacune de ses oreilles, au moins 6 boucles d'oreilles à chacune de ses oreilles, un petit bijoux sur la langue, ainsi qu'un à son nombril.

Tic ou manie :

• Quand un pain est à l'envers sur une table, Hikaru se sent obligé de le remettre à l'endroit.
• Il ferme toujours les portes derrière lui, sinon il se sent mal à l'aise.
• Quand il est assit, Hikaru est une vrai pile electrique, il bouge donc ses jambes sans arrêt.
• Juste en sortant de sa douche, il met son collier, sinon il se sen mal à l'aise le reste de la journée.
• Hikaru se mordille la lèvre quand il est stréssé.
• Quand il y a des carreaux sur le sol, carrelage par exemple, il essaye de ne pas les couper en marchant.
• Il traverse seulement sur les lignes de peinture blanche
• Quand il parle, il touche aux objets face à lui pour bien les ranger.
• Ayant peur du noir, il allume la lumière dans chacune des pièces où il se rend.
• Hikaru est toujours en retard.
• Il ne peut pas s'endormir avant d'avoir vérifier que tout est sa place dans sa chambre.
• Ses produits de douche doivent être utilisés dans un ordre précis, s'il se trompe, il boude.
• Il utilise toujours la même marque de ces produits.
• Il essuit toujours les frutis avant de les mange même s'ils sont lavés.
• Hikaru ne reste pas plus de deux minutes d'affilé devant un miroir.

(Merci x_x)

Histoire :

Tu sais Maman, tu m'avais dit être la plus heureuse de toutes les femmes quand je suis né. Ton cadeau de Dieu, ton ange. Je t'ai cru, trop naïf pour imaginer que tu ne me contais que mensonges, fausses histoires et sentiments inventés.
Te souviens tu de nos moments passés ensemble ? Moi oui. Même s'ils n'étaient qu'illusion, jamais je ne pourrais les oublier. Tu étais ma mère, la seule et l'unique, ma seule famille.
La première fois que j'ai posé mon regard innocent sur tes cheveux d'or et que nos yeux se sont croisés, j'ai su que je t'aimerai. Dans cette petite clinique, si simple, et pourtant remplie de souvenirs.
Je pleurais, et tu souriais. Un sourire, qui restera gravé dans mes souvenirs. Tu chantais ... Tu te souviens ? Ta voix si douce me rassurait, inconsciemment, je savait que j'étais en sécurité auprès de toi. Tes bras si chaud, cette chaleur maternelle que tu dégageais. Je t'aimais.

Tu sais Maman, mes souvenirs de Papa sont beaucoup plus confus. Était-il là pour l'accouchement ? Tu m'avais dit qu'il était arrivé en retard. Dommage. Tu étais si triste et je sentais cette déception dans le ton de ta voix. Mais qui était-il vraiment ? L'homme que tu as aimé si fort, de tout ton coeur, de toute ton âme. Le seul à qui tu te sois ouvert. Qui était-il ? Tu me parlais toujours de lui, et moi ... je ne le voyais que très rarement. Je n'avais même pas un an, il aurait dû être présent, près de nous. Mais je ne l'ai aperçu que quelques fois. Je dois avouer que j'étais déçu, ne pas pouvoir mettre un visage sur la personne que l'on appelait : Papa.
Mais tu as su te débrouiller ... La meilleure ! Tu étais la meilleure. Te souviens tu ? Quand tu m'emmenais à ton travail et que tes collègues prenaient soin de moi le temps de ton absence. Tu avais confiance en elles, je le savais. Tu ne m'aurais jamais laissé aux mains d'irresponsables.

Tu sais Maman, je me souviendrais de tes larmes ce jours la. Si pures et si sincères. Je venais d'avoir trois ans, mais je pouvais comprendre ta peine.
On avait fêter mon anniversaire, tu m'avais offert cet ours en peluche et ce camion que j'avais vu dans la vitrine du magasin de jouet. Je m'émerveillais derrière cette vitrine crasseuse où tous les enfants comme moi posent leur main dessus pour mieux regarder.
Tu avais même préparer un gâteau au chocolat. Savais tu que j'aime toujours le chocolat ? C'est mon petit plaisir à moi. C'est un secret.
Et puis la sonnerie du téléphone à retentit, tu étais loin de te douter de l'horreur qui t'attendais, qui nous attendait. Ce simple coup de téléphone qui avait plongé ton univers entier dans les ténèbres. Papy? Je t'entendais au loin prononcer son nom. Et tes cris ... Comment pourrais je les oublier. Je t'ai soutenu du mieux que j'ai pu pour accepter la mort de ton père.

Tu sais Maman, je t'ai serré la main le plus fort possible à l'enterrement. Je voulais que tu saches que j'étais à tes côtés, et que je le serai toujours. Un accident de voiture est si vite arrivé. C'est à ce moment qu'on prend conscience de la dure loi de la vie et qu'on peut enfin se dire : Ca n'arrive pas qu'aux autres.
Nous sommes tous confrontés à ce genre de chose, chaque jour et avec le temps et le soutient, on apprend à y faire face. Mais pas toi Maman. Tu étais si fragile et moi encore trop jeune. Si seulement à cet âge j'avais comprit la définition du mot : Suicide, où bien Dépression, et même Manque.
Mais ce manque j'ai bien vite comprit ce qu'il était, un peu comme un petit démon qui vous ronge de l'intérieur sans que l'on s'en rende compte.
Tu avais l'air si forte, mais je t'entendais pleurer chaque nuit. Le savais tu ? Peut être que tu comprendras enfin que mes cauchemars n'étaient que pures inventions de ma part pour te tenir compagnie la nuit ...

Tu sais Maman, quand tu m'accompagnais à l'école, jusqu'à mes sept ans, il y avait ce sourire sur tes lèvres, triste, mais un sourire. Je travaillais dur à l'école pour que tu sois fière de moi. Mais, j'étais toujours mis à l'écart parce que je n'avais pas de père. Toujours en déplacement pas vrai ? Crois moi je lui en ai voulu de nous avoir laissé. Je l'ai presque haït. Je savais que tu l'aimais toujours, alors je ne t'ai rien dit. Je faisais de mon mieux, tu me félicitais, mais je voyais dans ton regard que tu ne t'y intéressait pas. Le temps passe, la mort prend, la souffrance reste. Tu n'as pas voulu prendre ma main, et a préféré te laisser sombrer dans cet enfer infernal.
Je n'étais qu'un enfant, et je voyais ma mère, la femme la plus importante de ma vie se dégrader sous mes yeux sans que je ne puisse rien faire. Tu n'imagine même pas à quel point la frustration était grande. Je voulais t'aider, de toutes mes forces, mais jamais tu n'as saisi cette main. Je m'en veux. Oui je m'en veux de ne pas avoir réussit à te soutenir.

Tu sais Maman, c'était si dur pour moi de me sentir délaisser presque abandonner. J'avais douze ans quand tu as commencé à prendre tes petites pilules. Je ne savais pas ce que c'était, mais elles avaient un pouvoir de domination énorme sur toi. La seule fois où j'y ai touché, tu es entré dans une colère noire, comme si tu étais possédé. J'ai fais des recherches, j'ai vite comprit. C'était fini. Je ne pourrais plus récupérer la mère que j'avais avant. Je le savais, et pourtant je gardais espoir.
Des amis j'en avais peu. Je me consacrais à mes études et à toi. Oui j'essayais de trouver un moyen de t'aider, mais sans grand succès. Tu m'as souvent rejeté. Ton esprit était troublé, tu n'étais plus la même, les médicaments avaient réussi à te transformer. C'en était devenu effrayant pour moi. J'avais si peur de te perdre. Plus le temps passait et plus tu t'éloignais. Si seulement tu avais su à quel point j'étais inquiet ... Si seulement tu savais à quel point je t'aime. Papa est revenu à ce moment là ... Tu avais besoin de son aide ... J'vaais besoin de lui. Il prenait soin de moi. Pour lui faire plaisir je suis même entré dans le même groupe que lui ... Tu connais les Eta Zeta Chi ? Ils ne sont pas méchants ... Je les apprécie beaucoup. Jun est vraiment très gentil. C'est un très bon ami.

Tu sais Maman, le jour où je t'ai avoué mon homosexualité, à toi ... à Papa ... j'avais espéré que vous le prendriez bien. Mais tu avais changé. Tu as crié, hurlé, tu m'a même frappé. J'avais quinze ans. C'est très récent ... je suppose que tu l'as oublié. Tu avais même osé dire que je n'était pas ton fils et sans aucune raison, je suis devenu la cause de tous tes problèmes, de la mort de grand père ... Il m'a dit exactement la même chose, mon père. Tu n'as jamais réussit à faire ton deuil, et me haïr en pensant que c'était entièrement ma faute pouvait peut être t'aider, je n'ai rien dit. Je t'ai laissé m'ignorer. Avais-tu seulement remarqué que l'année d'avant, je n'étais qu'une victime d'ijime. J'ai décidé de changer Maman et tu ne l'as pas remarqué non plus. Je suis devenu plus fort. J'ai subi tes crises de colère, mais pas une seule seconde je n'ai ressentit une once de haine envers toi. Je suis désolé de ne pas avoir pu te retenir. Mais l'hôpital est bien pour toi. Tu verras. On se retrouvera. Papa t'attends ... je n'existe plus pour lui ... C'est douloureux ... mais je vais réussir.

Tu sais Maman, cette lettre, j'y ai mit tous mes sentiments en l'écrivant. J'ai confiance en toi, je sais qu'au plus profond de ton être tu seras touché, je le sens.
Je pense sans arrêt à toi, je dois te le dire. Je ne veux pas que tu m'oublies. Crois moi, je préfère la haine à l'indifférence.
Maman ... Je t'aime. Je ferais tout pour toi. En ce moment, je travaille bien, mes résultats sont corrects. Tu verras.

III. You

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